« Les forces gouvernementales soutenues par l’ONU ont expulsé les milices de Haftar de la ville de Tarhuna [située à 59 miles au sud-est de Tripoli], qui était le dernier bastion occidental de Haftar. On a des avions qui ont une autonomie de plus de 1 000 km. AFP 2020 Khaled Desouki, © La ville est riche en pétrole et se situe entre Tripoli, la capitale du GNA, et Benghazi, la forteresse de la LNA. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Ce dernier est à la tête de l’Armée nationale libyenne, qui est liée au Parlement de Tobrouk, non reconnu par l’ONU mais soutenu par l’Égypte, les Émirats arabes Unis, la Russie et, de manière officieuse, par la France. À ces décisions lourdes de sens s’ajoute le fait qu’al-Sissi a toujours proclamé que la ville de Syrte, encore contrôlé par Haftar, constituait une ligne rouge que ne devait pas dépasser le GNA (gouvernement d’union nationale), reconnu internationalement et soutenu militairement par la Turquie. ". Ferhat Polat, chercheur au TRT World Research Center et à l’Institut d’études arabes et islamiques de l’Université d’Exeter, a déclaré à The Media Line que l’Égypte aidait les groupes armés liés à Haftar depuis le lancement de la campagne d’opération. [Analyse] Donald Trump mettra-t-il fin à la crise du Golfe ? Il a invoqué le "droit de l’Égypte à la légitime défense fondée sur la légitimité internationale". Les 1 000 km qui la séparent de Syrte peuvent être parcourus rapidement. [en 2018, le commandant de l’ANL a été hospitalisé à Paris], Aguila Saleh, pourrait-il remplacer Haftar, Les agendas contradictoires des puissances étrangères en Libye, Libye : quand Khalifa Haftar utilise le pétrole comme instrument de chantage, Les ambitions nucléaires des princes du Golfe inquiètent. Elle est même en position de force. le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, une contre-offensive en direction de l’est du pays, Intervention de la Turquie en Libye : « Ankara et Moscou ont compris que leur intérêt commun est d’éclipser l’Occident ».
Une escalade de tous les dangers.
El-Sissi n’a pas la capacité militaire de soutenir de telles déclarations, mais essaie de protéger son allié Haftar et de s’assurer que la partie orientale du pays reste sous son contrôle ", a déclaré l’analyste. Shamis a estimé que la dernière déclaration d’el-Sissi n’était pas son idée, mais un projet concocté par les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite et la France, où le Caire a été utilisé pour lui donner sa voix. Les déclarations du président égyptien ne visaient pas à forger la paix ou la réconciliation, mais à diviser la Libye, a déclaré Shamis. "
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Ce sont les analystes qui en ont déduit qu’il y aurait une intervention militaire. Le blocage, dans ce cas, est définitif. Le soutien militaire entre les deux régions sera coupé. Avez-vous un compte sur fr.sputniknews.com? La récente démission de l’expérimenté Ghassan Salamé en est la preuve irréfutable, selon lui: «plus personne n’écoute les Nations unies», explique le chercheur, pour qui le conflit libyen met en lumière «l’enjeu de la rénovation de la gouvernance mondiale». Jusqu’alors, le soutien égyptien se limitait principalement à l’ouverture de ses frontières à la coalition pro-Haftar et à la mise à disposition de ses bases militaires, sans engager ses troupes au sol. Le sujet – le recouvrement du compte/ le déblocage de l'accès.
Une escalade de tous les dangers.
El-Sissi n’a pas la capacité militaire de soutenir de telles déclarations, mais essaie de protéger son allié Haftar et de s’assurer que la partie orientale du pays reste sous son contrôle ", a déclaré l’analyste. Shamis a estimé que la dernière déclaration d’el-Sissi n’était pas son idée, mais un projet concocté par les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite et la France, où le Caire a été utilisé pour lui donner sa voix. Les déclarations du président égyptien ne visaient pas à forger la paix ou la réconciliation, mais à diviser la Libye, a déclaré Shamis. "
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Ce sont les analystes qui en ont déduit qu’il y aurait une intervention militaire. Le blocage, dans ce cas, est définitif. Le soutien militaire entre les deux régions sera coupé. Avez-vous un compte sur fr.sputniknews.com? La récente démission de l’expérimenté Ghassan Salamé en est la preuve irréfutable, selon lui: «plus personne n’écoute les Nations unies», explique le chercheur, pour qui le conflit libyen met en lumière «l’enjeu de la rénovation de la gouvernance mondiale». Jusqu’alors, le soutien égyptien se limitait principalement à l’ouverture de ses frontières à la coalition pro-Haftar et à la mise à disposition de ses bases militaires, sans engager ses troupes au sol. Le sujet – le recouvrement du compte/ le déblocage de l'accès.