Le Nouvelliste du 14 juin 1973 rapporte les particularités d’Orgapas dans un article intitulé « De l’inutilité… » « Les membres du groupe ne proposent aucune solution politique, morale ou artistique, ils se contentent d’être les observateurs attentifs et souvent amusés de l’état actuel des choses (…) Toutefois, le groupe souhaite étendre ses activités (ou non-activités) à la population tout entière en se faisant le complice involontaire (surtout involontaire) des institutions politiques, financières, religieuses, artistiques et militaires de la place. « Très graphiques, poursuit le rédacteur anonyme, ces compositions, exécutées avec des matériaux modernes, sortent des chemins battu (sic) de l’art figuratif.
Un logique bond temporel plus tard, Mirza revient dans le monde créatif, cette fois, au 31 mai 1955. PS: L’exposition hommage à Mirza Zwissig sera vernie en mai 2020. La plaquette imprimée pour l’occasion à 120 exemplaires comprendra bien plus de reproductions que celles mises dans cet article.
Elle les montre moins, ses réalisations. Au quotidien, j’ai hérité d’une part de Mirza, d’un partage de son esprit, comme d’autres bénéficiaires, comme vous dans toi première exposition rétrospective.
» La création capillaire de Mirza interpelle Le Nouvelliste et V.G. Certains rapports sont logiques et d’autres moins. Sa phrase de signature est "ouaf". », « Où est donc passé ce chien ? selon les recommandations des projets correspondants.
L’expression graphique permet la création de propositions plastiques plus subtiles où l’humour a libre cours. Avec la permission d’Angelo, je le publie sur mon site pour donner à manger aux petits robots de Google, que Mirza sorte de l’ombre, qu’elle soit référencée. Dans une lettre adressée le 2 juin 1955 à Mirza par Fred Fay (directeur de l’École Cantonale des Beaux-Arts du Valais), l’institution délivre des compliments à son élève. « Ludique, Mirza Zwissig l’est tout autant dans sa suite sérigraphique que dans les mèches de cheveux qu’elle nous offre en tant qu’hommage à soi-même, à la matière, à l’espace et au temps. Entre-temps, il avait été décidé de trier et d’offrir certaines choses (livres, matériel) de Mirza à celles et ceux qui se montraient intéressé.e.s. Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb. Cette impro est basée sur un événement réel : l’été 1965, Nino se produit avec son groupe dans les discothèques du Sud-Est, notamment à La Playa de Saint-Raphaël. Son talent caché est de sauter à r… Juin 1957, Le Journal et Feuille d’Avis la glisse dans la liste des artistes qui « méritent beaucoup d’encouragements et de félicitations ». Un sociologue trouvera manière à réflexion dans cette nombreuse présence féminine en un secteur de l’activité créatrice où jusqu’ici c’est leur absence surtout qui s’imposait. Dans Wild World, la phrase de sa photo est "Je craque pour le labrador en couverture de Nintendogs!" Série Vibra rouge 8 – 50×70 cm – 1986 – Sérigraphie – 12 ex. Ces belles mèches grisonnantes, au-delà du gag stimulant, questionnent sur le temps qui passe, la vie qui va, etc.
Sa date de naissance s’avère le 15 août. Sur Sierre, La Patrie valaisanne la classe dans « les artistes en herbe ». » En mars 1973, le tandem Zwissig-Cerutti investit L’Historial de Nyon (avec trois autres artistes dont le sculpteur Raboud). Sous-entendu: « Elle existe ! Il s'est écoulé à plus de 75 000 exemplaires [7]. « Où est passée Mirza ? Le public aura uniquement le 21 septembre 1996, entre 11 et 17 heures, pour admirer les œuvres avant que chaque artiste n’emporte sa caisse. C’est rarissime, cela mérite une citation intégrale. du Musée des beaux-arts de la Majorie » (août 1958), celui de Spillmann (juin 1961). Selon une lettre du 16 juillet 1958, il s’agit du montant que souhaite régler son directeur Albert de Wolff pour « une grande toile de la vieill (sic) Ville que tu as peinte les derniers temps depuis la fenêtre de l’école », explique Fred Fay. » L’auteur cite alors toutes celles qui sont sur le catalogue d’une exposition à La Majorie, dont Mirza.
».
La série permet de développer des idées plastiques en divers éléments et de créer ainsi un environnement plastique.
La dernière modification de cette page a été faite le 28 juillet 2020 à 13:59. Il s’agissait de repérages destinés à ce texte, d’un café pris avec Angelo, son frère qui m’accorde la confiance de ces recherches. Il semble me rappeler qu’elle avait remplacé le pommeau du levier de vitesse par une balle de tennis. Allongées parce que Mirza empruntait des itinéraires à l’instinct sans écouter le GPS humain à ses côtés, à savoir mon père. Le texte qui suit constitue une plaquette de 64 pages imprimée en nombre limité qui sera en vente dès le 18 avril au Château de Venthône. Entre deux sets, on diffuse La la la la la. » et « Veux-tu venir ici ǃ ». Céline Salamin : la femme qui peint des oreilles publie un joli calendrier, Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. À l’inverse, cette artiste sierroise pécherait par trop de discrétion. Aux débuts des années huitante, dès 1982, elle se cherche des nouvelles expressions par le dessin ou la sérigraphie. Mirza ne se roule aucunement les pouces.