In 1884 he went back to the Congo, founded the city of Brazzaville, and, with official financial backing, began to establish a colony that he governed from 1886 to 1897. Financée par la Société française de géographie ainsi que par les ministères de la Marine, des Affaires étrangères et de l’Instruction publique représentés par François Paul de Dufourcq, officier de marine et délégué du ministère de l'Instruction publique, la deuxième mission est nettement plus fructueuse. His body was repatriated to France and he was given a state funeral at Sainte-Clotilde, Paris, prior to interment at the cemetery of Père Lachaise. Mission Pierre Savorgnan de Brazza / Commission Lanessan (, Pierre Savorgnan de Brazza a dans un premier temps été inhumé au, Transfert des cendres de Pierre Savorgnan de Brazza, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Pierre_Savorgnan_de_Brazza&oldid=172314765, Personnalité de la colonisation française, Personnalité de la franc-maçonnerie française, Personnalité ayant donné son nom à une ville, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:République du Congo/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Entreprises, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, À Bordeaux, un quai porte son nom. De l’autre côté, Brazza accuse Largeau d’être corrompu par les agents commerciaux désireux de mettre en place un régime d’exploitation sans se préoccuper des droits des indigènes. Selon les documents, Brazza s’oppose à l’expédition Marchand à cause de la présence d’un grand nombre de soldats, ce qui témoignait de l’esprit de soumission des populations qui inspirait cette entreprise. Pour cette expédition, qui dure de 1875 à 1878, il se munit de toiles de coton et doutils pour le troc. Partisan des palabres, farouchement opposé à la violence, il garde comme modèle Livingstone et s’oppose en cela à Stanley, surnommé « Boula Matari » (« briseur de roches »), qui s’est vanté d’avoir livré 32 combats. Selon l’historien gabonais Anges Ratanga Atoz, « De Brazza n’était rien d’autre qu’un agent de l’impérialisme colonial, mais il n’était pas aussi brutal que les autres ». Et c'est à la suite d'une agression que son fils Charles décéda en novembre 1962 [10]. La publication du compte-rendu des « Voyages dans l'Ouest Africain, 1875-1887 » (Le Tour du monde de 1887 et 1888) est accompagnée de nombreuses gravures réalisées d'après des dessins fondés sur les photographies prises par son frère, Jacques de Brazza, qui avait réalisé une mission jusqu'en pays Téké, sur les rives de la Likouala en 1885[4]. Bientôt[Quand ?] Under French colonial rule, the capital of the Republic of the Congo was named Brazzaville after him and the name was retained by the post-colonial rulers. Brazza, officier de marine aristocrate, élégant, héroïque, révolté par l’esclavagisme, apôtre de la paix, et surtout désintéressé, a un profil parfait à tous ces égards. Emmanuel Kwaku Akyeampong, Henry Louis Gates, Pierre-Paul-Francois-Camille Savorgnan de Brazza, Histoire militaire de l'Afrique Équatoriale française, African nation builds £1.4m marble mausoleum for colonial master, "Congo-Brazzaville: Should a Colonizer Be Honored Like a Founding Father? Mais, en 1904, il donne sa démission en invoquant les responsabilités de la franc-maçonnerie dans la gestion de la colonie de l'Afrique-Équatoriale française. Le même désordre règne dans toutes les branches du service : le gaspillage est épouvantable : on va de l’avant parce que le ministère l’exige, mais sans rien organiser... », « Sa mémoire est pure de sang humain. En avril 1898, touché par un « dégagement des cadres », Brazza est écarté de la marine nationale et placé à la retraite d'office. La maison des Brazza, la villa Dar-es-Sangha à Alger fut donnée par Charles dernier des enfants survivants à l'initiative du général de Chambrun, son oncle, au Gouverneur d'Algérie pour devenir un musée qui fut inauguré le 15 février 1952 lors des cérémonies du centenaire de la naissance de son père.