Le Figaro (16 octobre 2002) n’hésite pas à le présenter comme un « disciple de Raymond Aron », alors qu’il n’a pourtant jamais fait d’études de philosophie. Lorsque Nicolas Sarkozy est nommé à l'Économie et aux Finances, Patrick Devedjian devient ministre délégué à, l'Industrie jusqu'en mai 2005, date à laquelle il n'est pas repris dans le gouvernement Villepin. Ca laisse songeur.... il aurait attendu un peu pour mourir il aurait pu devenir macronnien, dommage.
Il est promu ministre délégué à l’Industrie dans le troisième gouvernement Raffarin en mars 2004. Par la suite, il sera l’un des principaux « ténors » de l’opposition à la loi sur le Pacs, tout en adoptant des positions particulièrement iconoclastes, citant volontiers « les amours de l’empereur Adrien et d’Antinoüs » ou « les corps musclés que Michel Ange découvrait dans son lit » (mensuel homosexuel Têtu, décembre 1998), soutenant un texte spécifique, mais pas similaire au mariage, pour les couples homosexuels, s’opposant aux incitations à la natalité par la fiscalité.
Il a beaucoup d’humour mais aussi une ironie qui peut parfois être acerbe. Ces fafounets semblent donner raison aux accusations gauchistes qui les qualifient de nervis de la bourgeoisie. notamment Rouge, octobre 1983). "Nous avons été ce que vous êtes et vous serez ce que nous sommes" Epitaphe à l’entrée de certains cimetières. le coronavirus, En 1999, à la suite de la démission de Philippe Séguin, il tente sa chance en présentant sa candidature à la présidence du RPR (8,92 %), puis épaule, au second tour, face à Jean-Paul Delevoye (soutenu par l’Élysée), Michèle Alliot-Marie, laquelle en fera son porte-parole (décembre 1999-avril 2001), tout en étant délégué général en charge de l’action politique de décembre 1999 à novembre 2000, puis son conseiller politique. Monde en 2014, il déclare : « Je me suis totalement trompé et je l'assume, mais je n'ai cautionné aucun crime »6. Voyant que le monde ouvrier à cette époque était presque irrécupérable ... et l’étant moi aussi, je suis donc devenu Fonctionnaires de police, un bonhomme content de lui et satisfait de lui même en somme , heureux d’avoir enfin pu être récupéré afin de vivre dans l’ersatz de ses opinionsque m’importe l’incohérence de mes choix, être un "prolo" mais du bon coté du manche pour servir les intérêts merdeux d’anciens merdeux. français de sa ville natale il obtient un diplôme d'une école catholique arménienne de Constantinople. On pourra également se reporter aux pages 303 à 306 du tome I du livre de Roland Gaucher, Les Nationalistes en France (ou à un tract largement diffusé, coupures de journaux à l’appui, par l’hebdomadaire communiste Antony-Hebdo, avant les élections municipales de 1983), où il est question, à l’été 1965, de « jeunes dévoyés en vacances » qui avaient « essoufflé » la police dans une course-poursuite sur la Côte d’Azur, avec vol de voitures, vol de moteurs, siphonnage d’essence, fausses plaques d’immatriculation, vol de cartes d’identité, etc. apparaissent dans la liste des personnes recherchées à la libération pour collaboration.
Dommage qu’il n’y ait plus de moules chez mon poissonnier, j’en aurai bien repris plusieurs fois... Plus sérieusement, vu la trajectoire plus qu’ambigue de ce type,il y a fort a parier que c’était depuis le départ un infiltré... Bravo pour ce véritable travail journalistique. « Il avait parfois des emportements, se souvient, ému, Christian Dupuy, maire de Suresnes. « seul en…, ENZO PRODUCTIONS PRESENTE : Sous le haut patronage…, « Zarzavatdjian, un nom à coucher dehors !
Un témoignage rapporté par les journaux de l’époque : lors de la victoire de la droite à Antony, les manifestants communistes scandaient « Le fascisme ne passera pas ». Accusé d'avoir commandité le livre[44]. génocide arménien par la Turquie et la communauté internationale. » « C’était un homme doté d’une culture profonde, riche, embraye André Santini, passionné les peintures, les dessins français du XVIIe siècle. C’est lui qui avait loué la camionnette qui transporta le commando d’Occident de Paris à Rouen pour « casser » les militants gauchistes du Comité Vietnam de Base (CVB). - Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi En 1985, quand celui-ci adhère au Front national, Patrick Devedjian l'exclut de la, Maire d'Antony de 1983 à 2002, il se consacre à la modernisation de sa ville, qu'il habite jusqu'à sa mort. À nouveau dans Le Monde du 27 septembre 1996, il affirme, à la suite des propos du président du Front national sur l’inégalité des races : « Nous pouvons désormais, sans risque d’être condamné, accoler systématiquement à son nom l’épithète de raciste. Patrick Devedjian quitte ses fonctions à la tête du parti majoritaire, le 5 décembre 2008, quand il est nommé ministre auprès du Premier ministre, chargé de la Mise en œuvre du plan de relance, une fonction gouvernementale temporaire créée pour suivre le plan de relance économique français à la suite de la crise financière de 2008. Il « passe du prétoire au cabinet noir de l’Élysée, indique Libération (8 mai 2002).