Le 25 juillet 1789, le comité de Constitution présentait à l’Assemblée, par la voix du député Mounier, un premier projet. Dès le 12 juin, il publie également le Junius français, qu'il arrête le 24 juin, après 13 numéros. Son assassinat par Charlotte Corday permet aux hébertistes de faire de lui un martyr de la Révolution et d'installer pendant quelques mois ses restes au Panthéon. Au Parlement britannique, le Premier ministre argue de l'instabilité du gouvernement français. Le durcissement de la Révolution débouche aussi sur des décisions pour réglementer la spéculation. L’Assassinat de Marat de Jean-Joseph Weerts (vers 1880). Voir la présentation de Michel Vovelle dans Jean Paul Marat, Cf. Marat fut inhumé dans le couvent des Cordeliers et transféré le 25 novembre au Panthéon. En 1770, il est médecin et vétérinaire à Newcastle. Bien qu'ouverte aux idées nouvelles, la jeune femme est indignée par les excès de la Révolution. Sous la Constituante, il défend la cause des citoyens passifs, des victimes du marc d'argent. Le cabinet britannique rejète donc dans l'immédiat toute tentative d'accommodement. Considérant Marat comme un tyran et le principal instigateur des massacres révolutionnaires, elle décide de l'éliminer. », « qui est changé et renouvelé tous les quinze jours », « Si nous traitions avec Marat, avant la fin de la négociation, il retomberait dans la lie populaire dont il est sorti et laisserait la place à un scélérat encore plus désespéré que lui », « en l’accablant de reproches [et] l’ont ensuite jeté dans l’égout, en lui criant : « Marat, voilà ton Panthéon !
Le 2 septembre 1792, il entre au Comité de surveillance de la Commune de Paris[32]. ». » Il prend même position sur les questions coloniales entre mai 1791 et avril 1792. En 1778, celui-ci a présenté un mémoire sur la nature du feu, et Jean-Baptiste Le Roy qui a été nommé membre de la commission chargée d'enquêter sur le bien-fondé des théories de Marat, a réussi à y attirer Franklin : « Ayant exposé sa tête chauve au foyer du microscope solaire (instrument inventé par Marat), nous l’aperçûmes ceinte de vapeurs ondulantes qui se terminaient en pointes torses ; elles représentaient l'espèce de flamme que les peintres ont fait l'attribut du génie[11]. Exterminons sans pitié tous les conspirateurs si nous ne voulons pas être exterminés nous-mêmes (…) Dumouriez marche sur Paris pour rétablir la royauté (…) Aux armes ! Dès la fin mai, Marat est l'un des principaux animateurs du soulèvement parisien contre la Gironde.
Le 8 août 1788, Louis XVI est obligé de convoquer les États généraux pour le mois de mai suivant. Il publie même le 18 mai 1791, un plan d'abolition progressive de l'esclavage des Noirs avec indemnisation des planteurs.
Les membres du site ont décidé de porter Jean-Paul Marat au plus haut niveau du site en lui attribuant une note moyenne de 5 sur 5 avec 1 note.
Disciple de Rousseau, il attaque plusieurs fois Helvétius, traité d'« esprit faux et superficiel », dans cet ouvrage, mais aussi Voltaire, qu'il qualifie d'« inconséquent » et qui lui répond par le persiflage dans un petit article[5],[6] paru dans le Journal de politique et de littérature le 5 mai 1777[7]. Les sectionnaires extrémistes trouvent cependant que ce tribunal acquitte trop facilement, et juge trop lentement. En 1772, il publie anonymement An Essay on the Human Soul, puis, après son retour dans la capitale britannique, en 1773, un second écrit philosophique, A Philosophical Essay on Man, qui est réédité en 1775[3]. Acquitté le 24 avril, Marat, couronné de lauriers, est porté en triomphe. En mars 1921, le cuirassé russe Petropavlovsk est renommé Marat jusqu'à son démantèlement en 1952[67]. Le 25 juillet 1793, la rue des Cordeliers, où a été assassiné Marat à son domicile, est baptisée rue Marat, en même temps que l'on renomme la rue de l'Observance, place de l’Ami du Peuple[58]. Depuis le 3 juin 1793, Marat ne se présente plus à la Convention. L'assassinat de Marat par Isaac Cruikshank (1793).
Les révolutionnaires se rendent alors aux prisons, et y massacrent du 2 au 6 septembre, d’abord prêtres insermentés, puis gardes suisses et gardes du corps du roi, aristocrates suspectés de complot, enfin de nombreux prisonniers de droit commun (au total, il y a environ 1 500 morts). ». De plus, les impositions directes de Paris étaient calculées sur le prix du loyer selon la loi du 18 avril 1790. En mars-avril, soutenu par les Cordeliers, il prépare un recueil de ses articles : L'École du citoyen. Confronté le 24 avril à ses accusateurs et à ses défenseurs, Marat bénéficie d’un jury qui lui est acquis d'avance.
On trouve, aujourd’hui encore, quelques traces de ces dénominations, des rues (Ivry-sur-Seine, Décines-Charpieu) portent son nom. Jean-Bernard et Jean-François Lemaire, Jean-Pierre Poirier, Julien Louvrier, « Marx, le marxisme et les historiens de la Révolution française au. Dès le 25 septembre, les attaques de la Gironde contre Danton-Robespierre-Marat, accusés d'aspirer à la dictature, sont continuelles. Depuis qu'il a été élu à la présidence des jacobins, le 5 avril 1793, une circulaire appelant à l'insurrection et au coup d'État est publiée sous sa signature.
Sous la Constituante, il défend la cause des citoyens passifs, des victimes du marc d'argent. Il entend aussi expurger les crimes et délits antérieurs à septembre 1791 (fuite du roi à Varennes et fusillade du Champ-de-Mars) dans la mesure où ils ont été amnistiés. De nouveau dans la clandestinité en janvier 1790, réfugié à Londres en février et mars, il lance de là un grand nombre de pamphlets. Francais, né le 24 mai 1743 et mort le 13 juin 1793.
Son assassinat par Charlotte Corday permet aux hébertistes de faire de lui un martyr de la Révolution et d'installer pendant quelques mois ses restes au Panthéon. À ce moment précis, Marat publie, début août, une feuille in-8° de 8 pages Le Moniteur patriote[24], entièrement consacrée à la critique du projet de Constitution, critique nourrie, entre autres par son expérience du modèle constitutionnel anglais.
Juste avant sa mort le 12 juillet 1793, à l'occasion d'un renouvellement, il demande l'éviction de Bertrand Barère du Comité de salut public[48] qui, montagnard non jacobin, est toujours partisan de la guerre d'attaque.