C'est une théorie de la connaissance inscrite dans le cadre de son épistémologie génétique.

En particulier, le positivisme est non substantialiste, il ne prétend pas que les faits dérivent d’une ou de plusieurs substances. Il s’institue une interrelation efficace entre la démarche de connaissance et une partie du monde. 2) l'occidentalo-centrisme qui nous juche sur le trône de la rationalité et nous donne l'illusion de posséder l'universel. Isabelle Stengers, invite à un ralentissement de la Science afin que le citoyen puisse apprécier « où va le monde » dans sa globalité par suite des activités scientifiques mais aussi techniques et politiques qui lui sont liées. Lionel Naccache affirme qu'« aujourd'hui la connaissance ne fait plus peur à personne alors que depuis trois mille ans notre culture occidentale n'a cessé de la décrire comme vitale et dangereuse »[11]. Elle est une action qui provoque une réaction. Origines de la théorie de la connaissance, Premier pas introductif dans la théorie de la connaissance, Le modèle théorique de l'accès à la connaissance, Détails des relations dans le milieu spécifique à la connaissance, Lien entre la connaissance et la croyance, Lien entre la connaissance et le(s) savoir(s), Lien entre la connaissance et l'information, Lien entre la connaissance et la technique, Actualisation de la notion : théorie complexe de la connaissance, Complexification liée à l'assurance-réassurance, Complexification liée au retour du citoyen, La connaissance est source de déséquilibres économiques, « [...] il faut inventer l'hypothèse qui sera mise à l'épreuve, si du moins l'on se propose d'accroître la connaissance », « S'il y a un progrès en science, c'est par la dénonciation des erreurs, non par la confirmation de l'acquis, qui est toujours provisoire et susceptible de révision », « à dissiper l'illusion qui prétend que nous serions arrivés à la société de la connaissance », « la connaissance pertinente est celle qui est capable de situer toute information dans son contexte, et si possible dans l'ensemble ou elle s'inscrit. Cela impose des solutions de stockage, d'archivage et de gestion des entrées / sorties pour consultation ad hoc en liens avec les techniques en vigueur. La théorie de la connaissance, inventaire raisonné des instruments nécessaires pour connaître[4], étudie : Bien sûr, la théorie de la connaissance actualise la connaissance de la connaissance, sans être l'Histoire de la connaissance qui est une discipline spécifique. Pour elles cette connaissance est une croyance vraie. C'est ainsi qu'à la fin du Ménon Platon propose de définit la connaissance ainsi (il conteste cependant cette idée dans le Théétète)[10]. Toute croyance présentant un moindre degré de justification constitue à ce compte une « opinion probable » (ou connaissance par provision). Du coup, il peut être intéressant de distinguer entre le référent et l'objet. Cette interaction paraît devoir être mise en avant et prise en compte pour bien comprendre l’activité scientifique. Par exemple, la cellule vivante, une fois constituée en objet de science, définit un domaine de la biologie : la cytologie. La construction d'un objet pertinent n’est pas facile, il faut que le phénomène soit «  trié, filtré, épuré… » C’est plus net dans la physique, car le fait est « coulé dans le moule des instruments ». en connaissance de cause, en connaissance de cause, faire connaissance avec, connaissant. Ne pas négliger de traquer les signaux faibles en complément aux analyses des tendances lourdes... La connaissance amplifie les champs de créativité, de création. dans le cadre des entreprises ou des ordres professionnels, le système promu de valeurs collectives est exprimé via un document d'éthique (qui s'apparente plutôt à une morale interne !)

Vous souhaitez rejeter cette entrée : veuillez indiquer vos commentaires (mauvaise traduction/définition, entrée dupliquée, …). Le premier mouvement de construction impose la désignation claire et distincte d'une part de la réalité qui donne un référent premier à la connaissance scientifique.