Y participe notamment l'écrivain Krikor Beledian, aux côtés de critiques artistiques, écrivains, poètes, musicologues, esthètes, cinéphiles, historiens ou politologues arméniens, des Amériques à l'Arménie[8].
Cliquez sur un lien pour ouvrir dans une nouvelle fenêtre. Fondé en 1925, il a publié son dernier numéro le 30 mai 2009[1],[2]. L'histoire de Haratch est intimement liée à celle de son fondateur, Chavarche Missakian. Nor Haractch ("Nouveau Haratch") avec une première page consacrée généralement à la vie de l'Eglise arménienne, par un éditorial et une photo Pas une seule page en arménien, mais des dossiers et reportages dignes des meilleurs titres de la presse occidentale. Dernière née de la presse arménienne de France le "Magazine de l'UGAB", qui relate par ailleurs, des activités de l'organisation mondiale, est venu compléter et enrichir cette presse arménienne de France. Dans un premier temps trihebdomadaire, Haratch devient quotidien à partir du 1er janvier 1927[4]. Dans une des premières notes de son journal, elle écrit : «Les Arméniens disparaîtront comme fumée de cigarette, seules resteront les cendres, et seule la terre viendra à notre secours.» Le périple est interminable raconte-t-elle : «Nous marchons sans but, six heures par jour, sans manger ni boire. GAMK (diffusion arrêtée le 31/03/2002) Inaugurant ainsi le début d'une nouvelle ère du journalisme arménien, aboutissant au fil des quelque quatre à cinq mille titres publiés depuis cette époque, à la presse arménienne d'aujourd'hui. Une part importante des périodiques cités dans cet article sont disponibles en format numérisé sur le site suivant : Certains titres ont été numérisés et mis en ligne par l'. Le 26 janvier 1957, Chavarch Missakian meurt ; c'est sa fille Arpik Missakian qui prend sa suite à la direction du journal[4].
Il est, à ce moment, le seul quotidien de langue étrangère qui ait une autorisation gouvernementale à paraître[4]. ArménISERE Pendant l'Occupation, Chavarche Missakian, vraisemblablement socialiste convaincu (le journal socialiste Le Populaire le désigne comme un « camarade »[5]), saborde volontairement son journal par antinazisme[6] puis le fait reparaître après la Libération[4]. Voir deux, tout au plus ! Mardgots, publiée par le dissident de le FRA Dachnagtsoutioun, Vazkén Chouchanian, devait quant à elle, tenir quatre années. Au fur et à mesure que les années passent, le journal perd progressivement ses lecteurs. Durant cette même période de ce début du " siècle des Lumières ", de 1901 à 1908, un groupe d'intellectuels Arméniens, conduits par Arpiar Arpiarian et Yervant Odian, lançaient à Paris le périodique "Azad Khosk" (Libre parole). L'équipe du journal est très réduite, se limitant à Arpik Missakian, une autre journaliste permanente, Arpi Totoyan, née en 1945 à Istanbul et locutrice de l'arménien occidental et du turc, qui intègre l'équipe en 1984[3], et complétée par quelques chroniqueurs[9]. Haratch guide et conseille les réfugiés arméniens en France sur leur statut, le renouvellement des titres de séjour, le règlement de police, le droit au travail, le service militaire, mais aussi sur des questions d’hygiène, avec Hay Pouj dirigé par Chavarch Nartouni[4]. Liste des principaux journaux arméniens et de nouvelles sources. Devenu bilingue, Achkhar tient aujourd'hui encore, une place privilégiée au sein de la presse arménienne de France. Tsaïn, La voix de l'Eglise, Publication de PEAD (Paroisse de l'Eglise Arménienne de Décines) AAAS-Infos, Bulletin de l'Association Arménienne d'Aide Sociale Rendez-vous sur notre site. Parmi eux, on compte des auteurs comme Minas Tchéraz[5], qui publie le mensuel L'Arménie (1889-1906, principalement en français), mais aussi Meguerditch Portoukalian, fondateur du parti Arménagan et qui publie à Marseille le journal Armenia (Արմենիա, 1885-1923)[6],[1]. Toujours au début de ces années 1980, naquit à Paris le quotidien "Gamk", organe de la FRA Dachnaktsoutioun.
Cliquez sur un lien pour ouvrir dans une nouvelle fenêtre. Fondé en 1925, il a publié son dernier numéro le 30 mai 2009[1],[2]. L'histoire de Haratch est intimement liée à celle de son fondateur, Chavarche Missakian. Nor Haractch ("Nouveau Haratch") avec une première page consacrée généralement à la vie de l'Eglise arménienne, par un éditorial et une photo Pas une seule page en arménien, mais des dossiers et reportages dignes des meilleurs titres de la presse occidentale. Dernière née de la presse arménienne de France le "Magazine de l'UGAB", qui relate par ailleurs, des activités de l'organisation mondiale, est venu compléter et enrichir cette presse arménienne de France. Dans un premier temps trihebdomadaire, Haratch devient quotidien à partir du 1er janvier 1927[4]. Dans une des premières notes de son journal, elle écrit : «Les Arméniens disparaîtront comme fumée de cigarette, seules resteront les cendres, et seule la terre viendra à notre secours.» Le périple est interminable raconte-t-elle : «Nous marchons sans but, six heures par jour, sans manger ni boire. GAMK (diffusion arrêtée le 31/03/2002) Inaugurant ainsi le début d'une nouvelle ère du journalisme arménien, aboutissant au fil des quelque quatre à cinq mille titres publiés depuis cette époque, à la presse arménienne d'aujourd'hui. Une part importante des périodiques cités dans cet article sont disponibles en format numérisé sur le site suivant : Certains titres ont été numérisés et mis en ligne par l'. Le 26 janvier 1957, Chavarch Missakian meurt ; c'est sa fille Arpik Missakian qui prend sa suite à la direction du journal[4].
Il est, à ce moment, le seul quotidien de langue étrangère qui ait une autorisation gouvernementale à paraître[4]. ArménISERE Pendant l'Occupation, Chavarche Missakian, vraisemblablement socialiste convaincu (le journal socialiste Le Populaire le désigne comme un « camarade »[5]), saborde volontairement son journal par antinazisme[6] puis le fait reparaître après la Libération[4]. Voir deux, tout au plus ! Mardgots, publiée par le dissident de le FRA Dachnagtsoutioun, Vazkén Chouchanian, devait quant à elle, tenir quatre années. Au fur et à mesure que les années passent, le journal perd progressivement ses lecteurs. Durant cette même période de ce début du " siècle des Lumières ", de 1901 à 1908, un groupe d'intellectuels Arméniens, conduits par Arpiar Arpiarian et Yervant Odian, lançaient à Paris le périodique "Azad Khosk" (Libre parole). L'équipe du journal est très réduite, se limitant à Arpik Missakian, une autre journaliste permanente, Arpi Totoyan, née en 1945 à Istanbul et locutrice de l'arménien occidental et du turc, qui intègre l'équipe en 1984[3], et complétée par quelques chroniqueurs[9]. Haratch guide et conseille les réfugiés arméniens en France sur leur statut, le renouvellement des titres de séjour, le règlement de police, le droit au travail, le service militaire, mais aussi sur des questions d’hygiène, avec Hay Pouj dirigé par Chavarch Nartouni[4]. Liste des principaux journaux arméniens et de nouvelles sources. Devenu bilingue, Achkhar tient aujourd'hui encore, une place privilégiée au sein de la presse arménienne de France. Tsaïn, La voix de l'Eglise, Publication de PEAD (Paroisse de l'Eglise Arménienne de Décines) AAAS-Infos, Bulletin de l'Association Arménienne d'Aide Sociale Rendez-vous sur notre site. Parmi eux, on compte des auteurs comme Minas Tchéraz[5], qui publie le mensuel L'Arménie (1889-1906, principalement en français), mais aussi Meguerditch Portoukalian, fondateur du parti Arménagan et qui publie à Marseille le journal Armenia (Արմենիա, 1885-1923)[6],[1]. Toujours au début de ces années 1980, naquit à Paris le quotidien "Gamk", organe de la FRA Dachnaktsoutioun.