Le vote de l’article 1 du projet de loi bioéthique au Sénat ne va pas seulement établir l’accès de toutes les femmes à la PMA, mais aussi les conditions dans lesquelles notre pays va instituer cet accès.
nrco.contentDetailController.content.status === "pending" ? Biographie Jeunesse et études. Assez vite, je leur ai dit que je voulais savoir ce que les intellectuels pensaient du foot. Le département des sports de Canal m'a dit banco ! On ne s’attendait pas à vous voir faire le tour du monde des intellectuels pour parler football.
C’est pas grave d’aimer le football. Olivier Guez évoque un réel changement de la perception du football, liée à la victoire de la France en 1998.
Je suis parti du constat que le foot est extrêmement critiqué et du sentiment qu’il mérite ces critiques, mais qu’en dépit de cela il continue de nous enthousiasmer. Mentions légales ».
«Un ado probablement malien...» : le post Facebook de Nathalie Loiseau est-il authentique ? {{nrco.contentDetailController.content.status === "published" ? Je ne veux pas l’exonérer de ses responsabilités : le football est une victime consentante de la dérive économique. Plan du site Plusieurs milliers de manifestants ont défilé ce dimanche à Paris contre l’extension de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes, à l'avant-veille de l'examen au Sénat du projet de loi bioéthique. J’ai évidemment des projets en tête, mais rien n’est lancé pour l’instant. Portez autre regard sur le ballon rond avec notre nouveau documentaire, disponible dimanche.@MathouxHerve. Quel est le point de départ de votre film C'est pas grave d'aimer le football !
Tout cela est un sujet en soi. Par une exploration des archives judiciaires, l’historienne analyse les évolutions des représentations de la pédophilie et du viol dans la société, le rôle de la justice et celui du vocabulaire employé. Dimanche 19 janvier, Hervé Mathoux proposera un documentaire sur Canal+ intitulé "C'est pas grave d'aimer le football".
Je voulais depuis longtemps rencontrer des intellectuels qui aiment le football et l’analysent dans leurs travaux. Pourtant le film ne se résume pas à cet unique cliché…. Sans qu'on le veuille au départ, notre sujet s'est transformé en quête de sens. », de Laurent Kouchner et Hervé Mathoux, dimanche 19 janvier à 21 heures sur Canal+.
Connectez-vous plus rapidement, Vous avez un compte Facebook ? Que pensez-vous de cette phrase prononcée par le linguiste Albrecht Sonntag dans votre film : « Le football est un jeu qui soude dans la souffrance » ? On a creusé, on a voyagé, au Brésil notamment, où la réflexion anthropologique sur cette question existe depuis longtemps. L. K. : Pas du tout, il a fallu qu'on fasse du tri (rires). En fin de compte, ils ont tous l'impression de vivre quelque chose d'unique qui n'appartient qu'à eux, mais tous vivent la même passion. Vous cachiez donc une passion pour les livres et les idées… J’ai toujours eu ce goût. D'où vient donc son amour pour le football. H. M. : C'était une autre époque malgré tout. Dans les buts de hasard établis entre pilastres et statues, se tie, Le journal du jour en exclusivité et le journal de demain avant tout le monde, Réforme des retraites, Adèle Haenel, destitution de Trump : l'essentiel de l'actu de ce jeudi. Podcast : dans la police, le petit business de “l’outrage à agent”, Sur France Culture, hommage théâtral à Anna Politkovskaïa, mémoire de la Tchétchénie, BD : Lucas Harari convoque Hitchcock et David Lynch dans “La Dernière Rose de l’été”, Laurent Petitmangin, auteur de “Ce qu’il faut de nuit” : un cadre d’Air France déploie ses ailes, Les “Dix petits nègres” ont changé de titre : “À quoi cela rime-t-il de modifier des œuvres du passé ?”.
Il présente le Canal Football Club depuis 2008. “Sur le chemin de la rédemption” sur Netflix : Ethan Hawke en pleine crise de foi, Christian Petzold, réalisateur d’“Ondine”, aime ressusciter les fantômes, Sur Netflix, “Ode à Latasha” célèbre la mémoire d’une adolescente victime de l’Amérique raciste, Vous aimez “Laëtitia” ? La rareté fait la préciosité des points inscrits. N'y a-t-il pas selon vous un décalage entre les propos tenus par certains intellectuels de votre film et la réalité ? Du pain et des jeux, c'est éternel... H. M. : Je n'ai pas eu la chance de vivre cette finale, étant forcé de rentrer en France plus tôt que prévu.
Je suis d’accord, mais interrogeons-nous sur cette société qui donne des fortunes à ceux qui font du spectacle plutôt qu’à ceux qui soignent des enfants. nrco.contentDetailController.content.status === "refused" ? C’est pas grave d’aimer le football, disponible sur MyCanal.
Mais ce qui me frappe dans le documentaire, c'est la parole des supporteurs du club des Corinthians : « Il n'y a que ceux qui sont supporteurs de notre club qui peuvent vivre des émotions pareilles dans le foot. Mais je n'ai pas le souvenir, dans la journée, de mouvements de foule de supporteurs devant des écrans géants, d'un événement qui remue la France entière, comme en 1998 ou en 2018 plus récemment. Je travaille dans le football depuis trente ans, j'ouvre les yeux et je vois toutes les critiques dont il est la cible.
La banlieue qui en 1998 était un atout, était devenue, douze ans plus tard, quelque chose de honni. On ne voulait pas soumettre nos interrogations à n'importe qui (rires). Nous contacter
Et surtout, en proie à de nombreuses critiques de par ses dérives économiques et par la violence qui peut se dégager des tribunes, peut-on encore aimer le football de nos jours ? « Lionel Messi est actuellement le seul très grand numéro 10 », Olivier Guez - Football : Yachine, la sentinelle rouge, Covid-19, météo et favoris : ce qu'il faut savoir sur Roland-Garros, Le tacle du lundi – OM-OL : les bonnets d'âne. H. M. : C'est ce qui fait la différence avec le basket, par exemple, où vous marquez un point toutes les 20 secondes. CGU
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On ne se cache plus pour parler de foot, même si l'on est un intellectuel.